AIDE A LA RECONSTITUTION DE L’ETAT CIVIL PARISIEN
GENEALOGIE : DICTIONNAIRE DES FOURNISSEURS, ARTISANS ET COMMERCANTS DE L'AMEUBLEMENT ET DE LA MENUISERIE D'INTERIEUR ET SES COMPLEMENTS : LES PIANOS ; L'HORLOGERIE ; LE BRONZE ; LES PAPIERS PEINTS ET LES TISSUS D'AMEUBLEMENT, ETC.
«eclatdebois» est le seul site de généalogie faisant le lien entre vous et la
vie quotidienne de vos ancêtres.
C'est la première fois qu'un site de généalogie étudie à Paris plus de cent
et un métiers du bois,
mais aussi du bronze, de l’horlogerie, de la lutherie,
des pianos, de la sculpture, etc.
Une juste récompense qui met à l'honneur les plus humbles qui participent au
renom de l'artisanat français.
Un site de généalogie qui place vos recherches dans un contexte historique,
économique, social, politique.
Un site qui permet à vos arbres de reverdir.
FICHIER 6B14
BIBLIOTHEQUE NATIONALE
FICHIER DES VOLONTAIRES NATIONAUX
Et Pendant la révolution, levée générale en 1792
Fichier réalisé à partir de la base Gallica
Fichier croisé 6B14
Source :
Les Volontaires Nationaux pendant la Révolution, par Ch. L. CHASSIN et L. HENNET, Paris, 1890, accessible sur le site de GALLICA ; Service militaire et intégration nationale pendant la révolution française, de Thomas HIPPLER, Annales Historiques de la Révolution, n°329 ; L’époque révolutionnaire 1789-1851, de MALET-ISAAC, Paris, 1950.
Contenu :
Des 48 registres d’enrôlement de l’année 1791, il ne subsiste, selon les auteurs, que la copie du seul registre de Bon Conseil ; nous l’avons étudié avec d’autant plus d’ attention que nous n’avons aucun registre pour les levées suivantes, puisqu’ils ont disparu dans l’incendie de 1871. Nous n'avons extrait que 90 patronymes.
Historique :
Depuis 1791, l’armée française comprenait deux catégories de troupes : les régiments de l’ancienne armée royale et les bataillons de volontaires pris dans la Garde nationale.
Après Valmy et Jemmapes, beaucoup de volontaires étaient rentrés chez eux et, en février 1793, les effectifs étaient tombés en dessous de 300.000 hommes. La Convention ordonna alors une nouvelle levée de 300.000 volontaires qui déclencha une vive résistance et provoqua le soulèvement de la Vendée.
Le décret du 23 août proclama le principe du « service militaire obligatoire », nommé alors la « levée en masse » : « Dès ce moment jusqu’à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la République, tous les français sont en réquisition permanente pour le service des armées ». Face aux ennemis coalisés, le but de la supériorité numérique fut atteint : les effectifs de l’armée française s’élevèrent fin 1793 à 630.000 hommes et, en août 1794, à 850.000 hommes.
M. G.